1 au 5 novembre 2022
Gros stress pour ětre sur de ne pas louper l’avion pour Sucre, on me recommande de partir de la ville 3h avant, ça me fais lever un peu tôt, mais surtout commander le taxi par message watsapp à 5h du mat. Les taxis Boliviens seront ils fiables si tôt et en plein bazar ? Oui, il est même en avance, il attend devant la maison alors que je faisais le tour du quartier pour trouver de quoi grignoter. De plus il est moins cher que prévu (pas de nego). Et en plus on ne met qu’une demi heure malgres les détours.
Pas d’attente au comptoir, longue attente dans l’aéroport mais opération réussie.
Beau spectacle pendant le vol, on survolle la Cordillere, bien sèche en cette saison. Atterrissage impect dans un aéroport de campagne à 30km de la ville. J’essaie pour la première fois le minibus. Dernier transfert avec un taxi jusqu’à l’hôtel. Perfect !
Il fait froid, j’ai du mal, et j’ai du me faire une alergie ou un debut de rhume, une pharmacie m’a vendu un bon produit. Ça faisait partie de l’acclimatation, le lendemain ca allais deja mieux. J’ai pris des tenues de grand froid, probablement sur-dimentionné.
SUCRE
Dire ’Soucré’ pour faire local.
Belle surprise, l’hôtel est à deux pas de la place de Mai. La ville est belle, propre, on dirait même repeinte à neuf. Tout le quartier central est nickel, et finalement toute la ville que l’on a traversé. Les touristes ne sont pas accostés, les magasins très à l’occidentale, biens mais pas excessivement chics.
Le coût de la vie me paraît tres bas pour un touriste, et même dans les endroits pour les Boliviens- on ne sent pas d’inflation pour gringos. Par contre les prestations pour touristes sont plutôt chers dès qu’on fait appel à des guides et des excurtions. Ça n’a apparament rien à voir avec le Pérou. Moi ça me va, c’est plus authentique, on vera pour la suite.
La ville est presque aussi calme que Santa Cruz – inquietude. C’est férié le 1 et le 2. Bon. Démarrage en douceur.
J’arpente la ville pour trouver un coiffeur, et bizzarement c’est très très rare. J’ai trouvé le ’MACHO ALFA’ lol. Voila c’est fait, résultat correct.
Quelques visites culturelles mais pas exhaustives.
Pour gérer le voyage, branchement au groupe Facebook des ’Francais en Bolivie’. Essentiellement axé sur le voyage, pour l’échange d’expériences et former des groupes pour les excurtions. J’ai pu comme ça partir en petite rando découverte (et décrassage) sur le cratère de Maragua, lancé par deux françaises, et aussi assiter à un petit cour de cuisine en dernière minute. Du coup on s’est revu pendant les deux jours, elle repartent à la maison demain.
Petit doute quand même sur ce début de voyage, mais ma tournée au grand marché m’a gonflé à bloc, comme à chaque fois. Après la Colombie et le Pérou, là, il me semble que l’on monte en gamme, sourtout pour la viande (en bon français), avec des vrais gros morceaux pour faire du vrai steak….
- Ce midi, un bon petit sandwich mix saucisse parfum chorizo et pate facon jambon très bon(1eur). Pour le petit dej avant la rando : pastel (beignet très gros mais plein d’air) et jus chaud, épais et sucré au maïs (un peu regressif : ça me fais penser à la Bledine) (0,5eur).
- beaucoup de légumes variés, des avocats de toutes les tailles du mini/un oeuf, au maxi
- des fleurs, des plantes aromatiques
- et toujours des zones restauration
Pour la bouffe ça va. Je suis entré dans un petit fast food local, pour à peinne 2eur, un sandwich – en fait double ou triple de leurs petits hamburgers avec un steak de vande fumée, accompagné de super bonnes frites au bon goût de patates.
Sur les recommandations de Philippe-il ne faut pas louper le chocolatier Parati- pour y déguster un chocolat chaud ! Et j’avoue : il est parfait et subtile en parfums, pas trop sucré, le top. J’y repasse demain !
Je prolonge pour l’acclimatation et le comfort, c’est bon de prendre le temps. Seul bemol : la circulation bruyante surtout avec les motos, et mal odorante, qui rentre même dans le patio de l’auberge de jeunesse.